Enquête publique  

 

 

 

 

 

 

 

 

L’ADE.Culhat a découvert « ce projet d’extension et de régularisation » comme l’ensemble de la population, par l’information de la mairie dans nos boites aux lettres .

 

 

 

Avis d'enquête publique

Résumé non technique

Avis de l'autorité environnementale

 

Résultats enquête publique :

Avis et rapport du commissaire enquêteur

Mémoire et réponse de l'exploitant  

Arrêté du 02 août 2012 d'autorisation 

Arrêté du 06 novembre 2013  

 

 

Ci-dessous, la contribution de Jean-Pierre Bonnaud, déposée à la mairie de Culhat dans le cadre de cette enquête publique :

 

 

 

 

 

 

^ Cliquer sur chaque page pour lire

  

 

Contribution de Gaêl ALVAREZ pour l'ADE.Culhat, habitant de Culhat

Chercheur en agronomie et microbiologie des sols  

 

  

 

Les communes concernées :

Ce sont celles qui sont situées dans un rayon de trois kilomètres autour du site des gravières  :

Culhat, Joze, Lempty, Lezoux, Beauregard l’Evêque, Seychalles, Les martes d’Artière

Ces communes doivent réunir leur conseil municipal dans un délai de 15 jours après la fin de l’enquête publique.

 

Concernant le dossier de l’enquête publique :

Un site qui fonctionne depuis plusieurs années dans l’illégalité.

 

Photo prise de chez marais dont les habitants sont aux premières loges !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’entreprise Boilon a obtenu par l’ancienne municipalité, un permis de construire pour un hangar agricole (pas pour l’installation d’une usine à gaz !)

Le contenu même de l’avis d’enquête publique « qui sollicite la régularisation et l’extension de l’activité de son unité de compostage….. » prouve que ce site fonctionne dans l’illégalité.

 

Les sources de Médagues

L’enquête environnementale ignore volontairement les sources de « Médagues ». Une des trois sources se trouve sous le site Boilon, à côté du domaine Dumas.

< source Médagues

 Source de l'Ours

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aucun raccordement ne relie le site à un réseau d’égout ou a une station d’épuration! les soit-disant bassins de récupération relèvent du bricolage : un trou au tractopelle et une bâche...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Et en cas d’orage ?

Et l’eau de pluie qui va lessiver la plate forme goudronnée ?

Ne vous inquiétez pas, la plate forme est en pente du coté du Litrou, la récupération des « eaux » dans les bassins est très aléatoire.

 

 

 

 

 

 

 

 

   < La photo montre qu’en cas d’orage les jus sortent par les portes tout droit vers le Litrou!

 

 

Une question primordiale :

Alors compost ou co-compost ?

Compost : obtenu à partir des déchets verts (comme le site Boilon entre Lempty et Lezoux)

Co-compost : mélange de compost et des toutes les 'cochonneries' annoncées par le projet d’exension :

 

Allez, courage! Voilà la liste ….forcement non exhaustive :

Objectif : 50.600 tonnes/an

• Déchets verts
• Refus de crible, céréales, biodéchets 
• Sous-produits animaux
• Cendres digestats
• Graisses de trituration, matières stercoraires
• Fumier, engrais et support de culture
• Boues de stations d’épuration de zones urbaines
• Boues de papèteries, d’industries agro-alimentaires seules ou en mélange avec des effluents d’élevage
  
•  Déchets de la restauration

………./……….. 

 

 Dans la mesure ou le compostage et le co-compostage sont fabriqués sur le même site, cela ouvre la porte à toutes les manipulations :

 

 

 

 

 

< Compost ou co-compost? v

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une pollution olfactive!

C’est l’ensemble de la commune et les communes environnantes qui sont touchées. Cette situation est insupportable!

• Impossible de déjeuner sur la terrasse!  
• de recevoir des amis! 
  
• de faire sécher son linge dehors!
  
• Obligation de fermer portes et fenêtres ! 

..../…..

 

Extrait document « Avis de l’autorité environnementale paragraphe 3.4 page 5 » présent en mairie ou consultable sur le Site de la Préfecture    

v

Les habitants du secteur sont principalement affectés par les nuisances olfactives, l’augmentation d’activité ayant toutefois un impact mineur. La thématique 'odeur' a été traitée sur la base d’une étude odeur réalisée par un bureau d’études spécialisé, selon les prescriptions de l’arrêté du 22 avril 2008. Une modélisation a été réalisée et a montré que la plate-forme respectera les valeurs-seuils fixées par cet arrêté, soit 5 unités d’odeur européenne/mètre cube, à ne pas dépasser plus de 175 heures par an à une distance de 3 km des limites clôturées de l’installation ; en effet, les concentrations d’odeur estimées au niveau des zones habitées resteront inférieures à 1 unité d’odeur européenne/mètre cube

 

 

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